A quoi servent exactement les anti-inflammatoires ?

Cette réaction se traduit d’abord par la dilatation des vaisseaux sanguins au niveau du tissu touché. Puis, ces vaisseaux perdent peu à peu leur perméabilité, ce qui entraîne le passage du plasma et des cellules immunitaires dans le sang vers la partie infectée, d’où l’inflammation. L’ibuprofène est le médicament le plus fréquemment utilisé en tant qu’anti-inflammatoire. Il faut dire que c’est plutôt efficace et beaucoup de personnes le supportent. Vous en avez peut-être déjà pris aussi.

Pourquoi l’Ibuprofène ?

L’ibuprofène est un choix intéressant puisqu’il permet de traiter toutes sortes maladies inflammatoires telles que l’arthrose, les tendinites superficielles, les entorses, les contusions, les fièvres et les douleurs. Mais ce n’est pas tout. L’ibuprofène permet aussi de soulager l’arthrite juvénile, les migraines et les céphalées, la dysménorrhée. Même les douleurs dues à une rage de dent ou aux règles peuvent être considérablement soulagées avec cet anti-inflammatoire puissant qu’est l’Ibuprofène. D’autres douleurs encore peuvent être calmées voire soignées grâce à ce produit médicamenteux. Bien sûr, il est fortement recommandé de consulter son médecin avant de prendre de l’Ibuprofène, et ne pas faire de l’automédication à l’aveugle, notamment lorsqu’on souhaite en donner à des enfants. Bien qu’il soit largement utilisé et présente peu de risques et de dangers, il n’en reste pas moins que c’est un médicament. A tenir donc hors de la portée de vos enfants.

Ce qu’est également l’Ibuprofène

En plus d’être un anti-inflammatoire, l’Ibuprofène est aussi un antalgique et un antipyrétique. Il est parfois prescrit pour les traitements symptomatiques au long cours pour certaines arthroses invalidantes et douloureuses. De même que pour la polyarthrite rhumatoïde, la spondylarthrite et d’autres rhumatismes inflammatoires. Mais il peut aussi être prescrit pour les traitements symptomatiques courte durée, c’est-à-dire pour les poussées aiguës de rhumatismes articulaires dont les tendinites, les bursites, les arthroses, les lombalgies, les arthrites microcristallines, etc. Des cas plus bénins peuvent également être traités avec de l’Ibuprofène, comme les affections douloureuses d’intensité légère à modérée ou des états fébriles.

Les types d’anti-inflammatoires

Les anti-inflammatoires se divisent en 2 catégories : les stéroïdiens et les non stéroïdiens. Pour les stéroïdiens, il y a les corticoïdes qui agissent sur le métabolisme dont celui du sucre, du sel et de l’eau contenus dans l’organisme. Les anti-inflammatoires stéroïdiens atténuent l’inflammation en éliminant le sel et l’eau. Quant aux non stéroïdiens, ce sont des substances qui annulent l’action des COX et donc, des prostaglandines. Ceux-ci protègent la paroi de l’estomac et limitent la production de l’acide chlorhydrique à l’intérieur de cet organe.

Implant dentaire : qu’est-ce que c’est ?

Pour mettre en place les prothèses dentaires correctement, il faut utiliser un bon support. C’est la raison pour laquelle il faut recourir une racine artificielle qui sera fixée dans la mâchoire. Il s’agit des implants dentaires. Cela empêche la prothèse de s’appuyer directement sur la mâchoire. Ils supportent le poids la force exercée par les prothèses dentaires sur l’os, que ceux-ci soient fixes ou amovibles. L’implant dentaire permet également de retrouver l’ensemble de sa dentition. Généralement, ce sont les dentistes généralistes qui effectuent cette intervention.

Quelles sont les principales caractéristiques d’un implant dentaire ?

Cet équipement est souvent réalisé à base de titane. Il s’agit d’un métal, adapté biologiquement au corps humain. Il est très solide, lui permettant de se supporter le poids des prothèses dentaires et de la pression de la mâchoire supérieure. L’implant dentaire est de nature résistante pour supporter les agressions de la salive et aliments qui véhiculent dans la bouche. Pour déterminer la qualité de l’implant dentaire, il faut l’évaluer grâce à l’osséo-intégration. Cela permet de savoir quel est le niveau de résistance de l’implant. En effet, la surface rugueuse des implants dentaires favorise l’apparition la solidification des cellules osseuses.
Si vous faites appel à un orthodontiste, il vous installera des mini-vis ou des mini-implants que vous pouvez enlever à tout moment. Généralement, l’implant doit être capable de supporter plus de 35 kg/cm². Il se décline en différentes formes selon le nombre de prothèses que vous voulez mettre. Les formes les plus populaires sont les cylindriques, dont les diamètres varient entre 3 à 5 cm. La longueur normale est d’environ 10 à 15 mm selon le type d’os.

Comment se pose l’implant dentaire ?

La pose de l’implant dentaire doit être réalisée par un dentiste généraliste. Il prendra également en charge les procédures d’augmentation des os. De ce fait, il est important de s’adresser à un dentiste ayant des connaissances en la matière. Grâce aux nouvelles technologies parodontales, la pose de l’implant dentaire est beaucoup plus facile malgré le fait que les tissus parodontaux ne sont pas très fiables. Le dentiste effectue d’abord un diagnostic de faisabilité avant de déterminer la bonne technique à utiliser. L’implant sera fixé sur la mâchoire à l’aide d’une petite incision qu’il fera sur la gencive. Il effectuera la pose de l’implant soit en deux temps en permettant aux cellules osseuses de s’incruster dans la mâchoire et que la gencive se cicatrise, ou en un seul temps qui est plus bénéfique pour la pose d’une prothèse dentaire après 3 mois d’intervention. Il y a également la technique dite « immédiate » qui s’effectue au moment où il arrache la dent. Il y placera une alvéole dentaire sur la gencive.

Quels sont les avantages des implants dentaires ?

L’implant dentaire vous permet de conserver l’état des dents adjacentes si vous utilisez des prothèses. Il apporte également plus d’esthétisme à la dentition, quel que soit le nombre de dents qui manquent. Ainsi, vous pourrez alors garder votre capitale osseuse presque intacte. De plus, l’implant dentaire est plus résistant au contact de la salive et de tous les aliments qui entrent dans la bouche. Il facilite également le processus de mastication, en assurant le rôle des dents manquantes. Il améliore donc la digestion.

Dépister la trisomie par le test ADN

Le test permet d’évaluer le risque chez l’enfant à naître, s’il est faible ou élevé : on parle de dépistage prénatal non invasif. Il s’agit d’un examen sans risque pour la grossesse, appuyé par échographie. Il consiste à prélever l’ADN du fœtus pour l’analyser et dépister le syndrome de Down ou Trisomie 21. Cela se fait par une simple prise de sang chez la femme enceinte. Ce dépistage n’est pas obligatoire mais à noter que 60.000 grossesses sont concernées par an. Heureusement, il est pris en charge par l’assurance maladie et gratuit dans les établissements de santé publics. Le coût dans les établissements privé est aujourd’hui estimé à 390 euros. L’efficacité de ce dépistage est fiable à hauteur de 99%. Beaucoup se posent encore des questions sur la fiabilité sachant que l’on prélève le sang de la mère. Pour information, l’ADN du fœtus traverse dans le sang de la mère, et ce, à partir de quelques semaines de grossesse. Après le test, si les résultats sont négatifs, il n’y a pas intérêt de faire une amniocentèse dont les risques sur la grossesse sont graves : cela peut provoquer une fausse couche. En revanche, si le test est positif, l’amniocentèse sera inévitable (risque s’élevant à plus d’1/50).

Les avantages du dépistage de la trisomie par le test d’ADN

Le plus grand avantage du dépistage de la trisomie par le test d’ADN est de permettre à la femme enceinte d’éviter l’amniocentèse. Cette technique est dangereuse pour la grossesse sachant qu’elle peut provoquer une fausse couche. Elle ne devrait être envisagée que si les résultats du test sont positifs et que les risques de trisomie sont élevés. Une simple prise de sang n’a aucun impact sur la santé de l’enfant, elle peut d’ailleurs être réalisée dans le premier trimestre de la grossesse. Pour information, l’amniocentèse consiste à analyser des chromosomes du fœtus à partir du liquide amniotique. Le prélèvement se fait à l’aide d’une aiguille, perforant la membrane qui entoure le fœtus : il s’agit d’un examen invasif. Cet examen est aussi appelé caryotype : le moyen le plus fiable pour confirmer la trisomie 21 chez le fœtus. Un des avantages du dépistage de la trisomie par le test d’ADN est d’offrir à une femme enceinte de réaliser un examen prénatal et de décider en fonction des résultats de poursuivre ou non la grossesse. Toutes les femmes enceintes peuvent d’ailleurs demander cet examen pour s’assurer de la santé de l’enfant à naître.

Procédure de matériovigilance

En termes de sécurité des équipements médicaux, les vigilances doivent faire l’objet d’une bonne coordination entre les personnes en charge de la gestion de ces derniers. Cela, en vue de garantir une performance optimale sur les procédures de vigilance adoptées. Ainsi, dans cette coordination, le but est de simplifier le système de signalement et de recueil des données. Elle permet également d’améliorer la diffusion d’information vers les responsables et les spécialistes concernés et de partager efficacement les informations. Cette coordination sera aussi nécessaire pour coordonner des actions et définir les axes prioritaires, mais également, afin de mutualiser les compétences et les savoir-faire. Dans ce cadre, la notion de sécurité des équipements médicaux considèrera une bonne gestion des risques (clinique, technique, sur l’environnement, sur l’utilisation des matériels informatiques, social, etc.). Pour ce qui est de la matériovigilance, régit par le décret n° 96-32 du 15 janvier 1996, elle consiste à signaler et à enregistrer les différents incidents ou les divers risques pouvant causer des impacts négatifs dans la fabrication, la commercialisation et l’usage des équipements médicaux. Elle permet aussi d’enregistrer, évaluer et exploiter les données issues de ces signalements en vue de prévenir les éventuels risques. Un autre objectif de cette procédure est de réaliser des recherches ou des travaux relatifs à la sécurité d’usage des équipements médicaux, ainsi que de réaliser et suivre les actions adoptées visant la correction.

Les différents caractères du matériovigilance

En outre, la matériovigilance considère à la fois cinq caractères. En premier lieu, il y a la pharmacovigilance, suivant le décret n° 95-278 du 13 mars 1995. Elle est relative aux médicaments et aux produits soulignés dans l’article R.5144-1 du Code de santé publique. En second lieu, on a la réactovigilance, suivant le décret n° 2004-108 du 04 février 2004. Elle concerne l’usage et la manipulation des dispositifs médicaux de diagnostic in vitro. Ensuite, il y a l’hémovigilance, suivant le décret n° 94-68 du 24 janvier 1994 et concernant les produits labiles issus du sang. On a aussi l’infectiovigilance, suivant le décret n° 2001-671 du 26 juillet 2001, qui est relatif à la vigilance sur les patients. Et enfin, la biovigilance, suivant le décret n° 2003-1206 du 12 décembre 2003. Elle concerne les produits et les matières provenant de l’organisme humain et qui seront utilisés dans des démarches thérapeutiques.

L’oignon pour la santé des poumons, des cheveux et des oreilles

Parmi les vertus indéniables de l’oignon, il agit fortement sur le système respiratoire malade. C’est un remède utilisé depuis longtemps pour guérir la toux, mais également, pour dégager les poumons encombrés. Pour ce faire, si vous sentez que vous commencez à tousser, prenez un oignon de taille moyenne. Lavez-le et pelez-le. Prenez ensuite, du sucre roux, que vous allez réserver de côté. Une fois que votre oignon est pelé, partagez-le en 2 avant de le plonger dans le sucre que vous avez réservé. Une fois que votre mélange est terminé, couvrez le bol où il se trouve avec du tissu bien propre. Réservez pendant deux jours au frais. Vous verrez que du jus va se former au-dessus du mélange. Récupérez ce dernier. C’est ce jus que vous devrez boire matin et soir, à raison d’une cuillerée à café par prise jusqu’à l’arrêt de votre toux. Ce mélange permet de tuer les bactéries présentes dans les poumons et le système respiratoire. En même temps, l’oignon est aliment riche en sulfure qui a pour rôle de détoxifier l’organisme et de guérir l’irritation de la gorge qui a été engendrée par la toux. Concernant les encombrements de vos poumons, il faut associer l’oignon avec de l’huile de coco. Pour ce faire, prenez un peu de ce légume et ciselez-les. Versez-y un peu d’huile de coco et mélangez le tout. Une fois que la mixture est prête, appliquez-en sur votre poitrine et mettez-le au chaud en le recouvrant d’un tissu respirant. Cette mixture est à appliquer avant d’aller au lit, et à laisser agir toute la nuit. Enlevez le tissu au petit matin et prenez une douche légèrement chaude. Cette astuce est un bon moyen pour dégager les mucus de vos poumons et agit comme un véritable stimulus pour votre système immunitaire. Et enfin, pour les problèmes d’infection au niveau de vos oreilles, l’oignon sera également un véritable remède très efficace. Pour éviter la propagation de l’infection et afin d’arrêter la sensation de douleur auriculaire dans ce cas, prenez un tissu propre et placez-y un oignon. Placez ce remède sur votre oreille et couvrez-le d’un tissu propre, pour bien le fixer ou mettez un bonnet pour bien stabiliser le tout. Prenez ensuite une petite pause en pensez à vous allonger. Vous verrez que la douleur disparaitra progressivement.

Les autres utilisations de l’oignon pour la santé

Les chutes de cheveux peuvent être synonymes d’un mauvais état de santé. L’oignon peut dans ce cas, être un remède efficace pour arrêter ces cas de chute. Pour ce faire, plongez un oignon dans de l’eau et mettez-le au feu jusqu’à ce qu’on obtienne une solution, après avoir bouilli l’eau pendant à peu près 10 min. Une fois que c’est fait, reprenez l’oignon et mixez-le. Appliquez ensuite comme masque pour votre chevelure et laissez reposer pendant 1 h environ. Continuez en faisant le toilettage de vos cheveux normalement avec votre shampoing usuel. Cette solution est idéale pour prévenir et stopper la chute de cheveux, mais va aussi nourrir votre chevelure et accélérer sa pousse. Ensuite, pour éviter les vomissements ou si vous êtes en proie a une crise de vomissement, prenez de l’oignon et râpez-le. Faites également une petite infusion de menthe poivrée, parallèlement. Dès que la sensation de vomissement se ressent, prenez deux cuillerées à café de jus d’oignon râpé et faites suivre par 2 cuillerées à café de thé de menthe poivrée. Vous verrez que les sensations désagréables de vomissement s’estomperont. Et enfin, si vous avez été piqué par un insecte, rien de mieux pour désenfler la trace de piqûre et le désinfecter, que la pose d’une tranche d’oignon sur la partie concernée. Grâce à l’action du sulfure contenu dans l’oignon, l’inflammation se réduira rapidement.

Ce qu’est l’appendice

Pour savoir s’il y a lieu de pratiquer une ablation, le médecin va d’abord réaliser un examen approfondi des douleurs, de leur provenance. Il commence son examen en palpant l’abdomen, qui, en cas d’inflammation, va se contracter. Un scanner ou une échographie déterminera de façon formelle qu’il y a bien inflammation. Une prise de sang sera aussi effectuée et dans le cas où l’appendice est enflammé, une augmentation considérable de globules blancs sera détectée. Tout cela devra se faire assez rapidement car le risque que l’inflammation se propage est réel, auquel cas, une péritonite peut s’ensuivre, potentiellement mortelle.

Déroulé de l’ablation de l’appendice

De nos jours, on peut dire que l’ablation de l’appendice est devenue un acte médical assez banal, dans le sens de courant. D’ailleurs, l’opération proprement dite dure peu de temps, mais elle nécessite tout de même une anesthésie générale. L’une ou l’autre des techniques suivantes est utilisée pour réaliser une telle ablation. Soit par laparotomie, un acte par lequel le chirurgien fait une petite incision sur le côté droit pour atteindre l’appendice et le sectionner avant de refermer la plaie, soit par coelioscopie, technique par laquelle le chirurgien insuffle de l’air dans le ventre du patient de manière à faire décoller la paroi. Ensuite, il fait des micro-incisions et place une caméra lui permettant de voir l’intérieur de l’abdomen et les instruments de très petite taille. Cette deuxième méthode est préférée de certains praticiens du fait que les douleurs post-opératoires sont moins fortes et elle laisse moins de cicatrice sur la peau. Et en plus, le sujet peut se remettre plus vite et rentrer chez lui assez rapidement.

Au coeur de l’opération

On l’a dit, l’opération se déroule sous anesthésie générale. Ce qui veut dire que le patient ne ressent absolument rien pendant l’ablation car il est plongé dans un état de perte de conscience et son corps entier devient insensible. C’est seulement au réveil et pas forcément tout de suite non plus, que des douleurs peuvent être ressenties, mais petit à petit. De toute manière, tant qu’il reste à l’hôpital, les médecins continueront de lui donner des analgésiques afin de réduire au maximum les douleurs. Toutefois, pendant 1 ou 2 semaines après l’opération, le patient ressentira encore des douleurs au ventre, pas très fortes ni de manière continue. La cicatrice elle-même peut être sensible, aussi, il faut éviter d’y toucher et encore moins la serrer d’une manière ou d’une autre. En principe, il n’y a pas de complications liée à l’ablation, mais une hospitalisation plus longue est indispensable en cas de péritonite. Mais il faut environ 10 jours à 3 semaines d’arrêt de travail et de repos après une ablation de l’appendice.

Aménagement efficace d’un cabinet médical

Il est donc d’une grande importance que vous accordiez une attention particulière à l’aménagement de votre cabinet, puisque vous-même allez y passer le plus clair de votre temps à longueur de journée, au moins 5 jours par semaine. Il ne s’agit pas de l’aménager comme si vous le faisiez pour votre maison, mais de manière à ce que vous puissiez optimiser votre temps et pour garantir le confort de vos patients. Qu’il soit un lieu où vos patients se sentent en confiance, avant même de vous avoir vu. Mais au-delà de l’aménagement proprement dit de votre cabinet, ce qui compte le plus, ce sont les équipements médicaux dont vous allez vous servir pour ausculter, examiner et soigner vos patients. Que vous faut-il à la base, quels sont les indispensables ?

Ce dont vous avez besoin pour votre cabinet médical

Evidemment, en premier lieu, vous avez besoin d’une salle d’attente, un lieu spacieux et agréable. Vous n’êtes pas sans savoir que les gens, en général, appréhendent la visite chez le médecin, qu’ils aient une raison précise pour cela ou non. Aussi, la décoration et l’aménagement des lieux participent à apaiser leur éventuelle crainte et instaurent d’ores et déjà une certaine relation de confiance entre eux et vous. C’est une salle qui doit être séparée de l’accueil ou du bureau de votre secrétaire ou standardiste. Vous devez y disposer des fauteuils assortis et confortables, une table avec des revues et un coin pour enfants, avec des petites chaises, des ouvrages pour enfants et si possible, quelques jouets.

Quel mobilier pour équiper votre salle d’examen ?

Bien sûr, vous devez installer un bureau suffisamment grand pour accueillir votre ordinateur et votre imprimante et d’autres accessoires de rangements. Et aussi un fauteuil confortable et réglable pour vous et deux autres pour les patients. Puis, une table d’examen ou un divan, électronique ou non. Le matériel médical de base doit comporter un thermomètre, un othoscope, une balance médicale pour adultes et une pour les bébés. Ensuite, ayez un marteau de réflexe, un stéthoscope, un tensiomètre classique ou électronique, une trousse d’urgence, un débitmètre de pointe et un électrocardiographe et une mallette médicale en vue des visites à domicile.

Les matériels médicaux les plus utilisés

La catégorie d’équipement médical que vous allez choisir sera en fonction de votre spécialité, de votre situation géographique (en ville ou à la campagne) et de votre type d’installation, c’est-à-dire si vous travaillez seul ou au sein d’un groupe. Parmi les équipements les plus utilisés, on peut citer les bandelettes urinaires, le débitmètre de pointe et le lecteur de glycémie. En dispositifs médicaux, les principaux sont le matériel d’examen gynécologique, le matériel d’examen pédiatrique, l’électrocardiographe et le matériel d’urgence.

Qu’est-ce qu’une céphalée ?

Le mal de tête se présente sous plusieurs formes dont l’une d’elles est bien connue également : la fameuse migraine. Celle-ci touche davantage les femmes que les hommes, et entre l’âge de 30 à 39 ans en particulier. La migraine peut s’accompagner de nausées, de vomissement, et d’autres symptômes un peu particuliers que l’on appelle « aura ». Il s’agit de troubles de la vision qui peut se traduire par une perte de vue momentanée, par la vision de lignes aux couleurs vives ou par la vision d’éclairs lumineux. La migraine peut se manifester plusieurs fois par semaine ou juste quelque fois par an, sa durée peut aller de quelques heures à quelques jours. L’une des formes du mal de tête, ce sont les céphalées de tension qui ne s’accompagnent ni de nausées ni de vomissement et contrairement aux migraines, ces céphalées n’altèrent pas la qualité de vie des personnes atteintes. En général, celles-ci peuvent accomplir leur travail correctement et les crises ne nécessitent même pas une consultation médicale. Et enfin, il y la l’algie vasculaire de la face, qu’on appelle aussi céphalée de Horton.

Mieux comprendre la céphalée de tension

Les céphalées de tension englobent également les céphalées chroniques quotidiennes. C’est sans doute la forme de mal de tête la plus courante. Comment se manifestent les douleurs ? Le sujet ressent comme une tension bien localisée au niveau de la boîte crânienne. Le plus souvent, une personne souffre de céphalée de tension en raison, justement, de la tension dont elle est l’objet, d’un stress important ou de l’anxiété. Parfois, elle survient à cause d’un manque de sommeil, ce qui se résout facilement en faisant tout pour dormir à l’heure, pendant 7 à 8 heures et dans un environnement propice au sommeil. Il peut arriver également que c’est la faim qui soit à l’origine d’une céphalée de tension, par exemple si une personne n’a pas le temps de prendre sa pause à midi et donc, ne mange pas. Mais quelquefois, c’est l’abus d’alcool qui est la source de la céphalée de tension. La solution serait alors de tout simplement arrêter l’alcool ou tout au moins, boire modérément.

Les types de céphalées de tension

Si on se base sur ce que dit la Société Internationale des Céphalées, il existe 3 types de céphalées de tension. Le premier, ce sont les épisodes non fréquents, ce qui signifie que le sujet ne souffre que d’une douzaine de crise par an et chaque épisode dure entre une demi-heure à une semaine. Le deuxième type de céphalées de tension, ce sont celles à épisodes fréquents, ce qui veut dire entre 1 à 14 épisodes par mois, et dont chaque épisode dure entre une demi-heure à une semaine. Et enfin, il y a les céphalées chroniques quotidiennes, ce qui implique dans les 15 épisodes par mois, et ce, pendant 3 mois consécutifs. Et chaque mal de tête peut durer plusieurs heures, et quelquefois, sans discontinuer. Comme dit précédemment, les céphalées de tension ne sont pas des migraines, celles-ci se traduisant par des décharges électriques, comme des pulsations dans la boîte crânienne. Les douleurs provoquées par une migraine peuvent aller de légère à très intense et peuvent durer de quelques heures à plusieurs jours. Les migraines peuvent prendre en intensité en cas d’exposition à la lumière ou au bruit, ou aux deux. Bien que l’on ne sache toujours pas les causes exactes de la migraine, on sait que certains aliments et des changements hormonaux sont des facteurs déclencheurs.

Ce qu’est l’algie vasculaire de la face

Aussi dénommée céphalée de Horton, l’algie vasculaire de la face se caractérise par des maux de tête fréquents, d’une brève durée mais très intense. Ces douleurs surviennent surtout la nuit, pendant le sommeil. Elles se ressentent d’abord autour d’un œil puis s’étendent peu à peu sur tout le visage, mais que sur un seul côté. Ces douleurs se répandent donc de façon unilatérale mais jamais de façon bilatérale. Ce qu’on appelle épisode ou crise peut durer assez longtemps, car les douleurs étreignent le sujet pendant au minimum une demi-heure mais parfois jusqu’à 3 heures de temps. Et ces épisodes peuvent survenir une à plusieurs fois par jour, soit pendant quelques mois soit pendant plusieurs mois, ce qui peut être particulièrement épuisant pour la victime. Son quotidien comme sa vie personnelle, professionnelle et conjugale peuvent en être profondément affectés. Contrairement aux migraines, l’algie vasculaire de la face est plus fréquente chez les hommes que chez les femmes, mais les cas sont rares.

1- Les facteurs de risque de l’asthme aigue grave

La gravité de la maladie se manifeste dans un premier temps indépendamment des facteurs démographiques et clinique, même si un contrôle régulier et précis est effectué, cela ne prévient pas l’asthme aigue grave chez le patient. La manifestation de la maladie et sa fréquence peut varier d’un asthmatique à un autre et la crise peut être successive ou spontané.
La majorité des patients touchés par l’asthme aigue grave ont cependant évolué dans un cercle social peu favorisé et qui ont la plus part du temps vécus seuls selon les constatations.
Les sous-utilisations des corticoïdes et le refus ou l’impossibilité de surveillance peuvent néanmoins favoriser la manifestation de l’asthme aigue grave.

2- Manifestation de l’asthme aigue grave

Le patient commence à avoir des difficultés à parler et/ou à tousser ; les sueurs, la cyanose et le silence auscultatoire peuvent être considéré comme signe de l’asthme aigue grave. L’anxiété et l’agitation de l’asthmatique favorisent l’état de sa maladie.

L’asthme aigue grave évolue avec un épisode aigu de dyspnée sifflante avec toux, suivit parfois de crachats perlés en fin de crises. De complications respiratoires ou une hyperactivité bronchique intense se manifeste également lors la crise.

3 – Traitement et dispositions à prendre face à l’asthme aigu grave

Il est fortement recommandé d’emmener un patient atteint d’asthme aigue grave de toute urgence dans un hôpital et en soins intensif.
Si la crise survient intensément, cela peut entraîner la mort du patient dans un laps de temps très court.
Dès le transport, des mesures thérapeutiques doivent déjà être effectué par une équipe de soins. L’asthmatique ayant bénéficié d’une instruction consent son admission a l’hôpital, toutefois, dans l’ignorance des antécédents du patient, l’hospitalisation est à prévoir de suite.
Le traitement a pour objectif de lever l’obstruction bronchique et de maintenir la stabilité de l’oxygénation.

4 – Statistiques et indice d’évaluation de l’asthme aigue grave

Trois cent millions de personnes sont évalués asthmatiques dans le monde, c’est-à-dire jusqu’à 18% de la population dont 5% chez l’adulte et plus de 10% chez l’adolescent. Son impact est considéré à 5.8 pour 1000 mille personnes par an.

Origine des radicaux libres et conséquences sur les vaisseaux sanguins

Dans le métabolisme de l’être humain, lorsque le corps transforme l’oxygène, il existe des dérivés instables qui nuisent à son bon fonctionnement. Par instabilité, on notera que ces dérivés provoquent des réactions complexes et négatives, mais également, des réactions agressives dans le corps humain. Ces dérivés ne sont autres que les radicaux libres. La plupart du temps, ces radicaux libres sont produits et libérés par le comportement émotionnel de l’individu, quand il est en proie à des cas de stress. Mais cela peut aussi résulter de la consommation de divers produits toxiques comme le tabac ou l’alcool. Il est même possible que les activités de ces radicaux libres soient intenses si on se pousse trop à faire du sport, ou que l’on consomme certains types de médicament. Lorsque ces comportements sont excessifs, on aura alors, le phénomène qu’on nomme effets délétères qui vont provoquer une dégradation de ce qu’on appelle endothélium qui n’est autre que la partie interne de la surface des vaisseaux sanguins. Cette dégradation va alors, favoriser les cas de détérioration du système cardio-vasculaire et optimiser les risques d’infarctus et toutes sortes de maladies du cœur et des vaisseaux sanguins.

Le rôle des antioxydants face à ces risques de détérioration et la formation des radicaux libres

Le rôle des antioxydants est de neutraliser les actions des radicaux libres. Ils peuvent aussi s’assurer de protéger l’organisme face à leur formation. Ces antioxydants sont normalement, produits par le corps, mais peuvent également être consommés naturellement, à travers les apports de certains aliments. Ainsi, pour éviter les risques engendrés par la détérioration des tissus et des vaisseaux sanguins, un apport en antioxydants contenus dans les aliments peut être bénéfiques et réduire à néant les agressions effectuées par ces radicaux libres. Pour ce faire, un individu doit consommer suffisamment de produits riches en vitamine C. Ce micronutriment est nécessaire pour limiter les risques de maladies cardio-vasculaires, mais aussi, afin d’assurer la réduction de la pression artérielle. Pour ce faire, un apport de 110 mg de ce micronutriment au quotidien est nécessaire. Et cela, en sachant que 100 g de citron peut vous en fournir jusqu’à 400 mg, et les légumes entre 15 et 50 mg. Le manque de vitamine E peut aussi amener à favoriser le développement des radicaux libres dans le sang et détériorer les vaisseaux sanguins. Une bonne teneur quotidien de ce micronutriment contribue également à protéger les vaisseaux sanguins et le cœur, et à renforcer les parois de ces derniers. On trouve surtout la vitamine E, dans l’huile végétale, mais également dans tout ce qui est céréales et fruits à coque. On conseille également de consommer beaucoup de légume pour un bon apport en lipide végétal, notamment, en dégustant le plus souvent possible des épinards, de la salade, etc. Les aliments riches en béta-carotène peuvent également aider à réduire les actions des radicaux libres dans l’organisme. Ce type de nutriment est riche dans les aliments qui apportent de la provitamine A. Et son rôle est surtout de limiter les dégâts du tabagisme dans le sang d’un individu fumeur. D’où son importance également afin de réduire les risques de cancer des poumons et même du sang, en protégeant les vaisseaux sanguins contre les effets néfastes des radicaux libres.